martes, 10 de diciembre de 2013

POESIA FASCISTA


écrivains

« Beaucoup d'écrivains furent séduits par le fascisme comme par un mouvement lyrique où se mêlaient le chant et la volonté. Pour Drieu le Rochelle obsédé comme tout barrésien par l'empire de la décadence, le fascisme était le ressort qu'il avait d'abord attendu de Moscou ; le mystérieux ressort qui tout à coup suspendait le cours du déclin. Pour Brasillach le fascisme n'était pas une opération politique mais un vaste courant de symboles, issue d'une culture secrète plus vraie que celle des livres. Il avait transformé le fascisme en poésie nationale et Mussolini en un chantre qui, ayant éveillé la Rome immortelle, lance de nouvelles galères sur le Mare Nostrum. Autres poètes magiques : Hitler qui célèbre les nuits de Walpurgis, les fêtes de Mai et qui apparaît à Brasillach dans une guirlande de chanson de marche et de myosotis, de dures branches de sapin aussi, avec une escorte de jeunes cueilleuses de myrtilles aux belles nattes, toutes fiancées à des SS descendus du Venusberg. Même Codreanu est un poète grâce à la légion de l'archange Michel. La rose et l'épée s'entrelacent autour des guerriers de Primo de Rivera. Jusqu’à la Belgique qui devient poétique grâce à Degrelle, par qui souffle la fraîche inspiration des Ardennes. Au vent de l'histoire, les feuillages sombres du Venusberg et des Ardennes, la houle d'oliviers espagnols tout prêts à devenir des lauriers frémissent du même mouvement que le chêne de Saint-Louis, les cèdres des croisades et les vagues de l'Atlantique engloutissant Mermoz ».

Jacques Laurent. Histoire égoïste.
 Table Ronde.
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ÚLTIMOS ESCRITOS Y DISCURSOS DE GIOVANNI GE

ÚLTIMOS ESCRITOS Y DISCURSOS
DE GIOVANNI GENTILE
24 de junio 1943- 15 de abril  1944
OTRO INTELECTUAL FASCISTA ASESINADO POR LOS ROJOS



Cuando la noche del 15 de abril me fue dada la dolorosa noticia de que Giovanni Gentile había sido asesinado traicioneramente, la primera palabra que dije, tomado por una profunda angustia, a quien estaba, lejano, al otro lado del teléfono, fue: ¡No es posible, no es cierto! ¡No debería serlo! Pero el enemigo había querido cometer una infamia sin nombre, había querido ensuciarse con uno de los más oscuros delitos que la historia recuerda. El enemigo no había vacilado al dar la orden de asesinar también a este italiano, consciente de la permanente grandeza de la nación y convencido, desde el primer día de la traición, de la necesidad de trabajar, con todas sus fuerzas físicas y espirituales, para que el pueblo italiano se volviese a poner en pie, y marchase de nuevo hacia su destino. Así, las manos sacrílegas, que han golpeado hasta la muerte a Giovanni Gentile, han privado a la Nación de uno de sus ciudadanos más fieles, a la cultura italiana y europea de uno de sus más elevados representantes, a la escuela de su más grande Maestro, al mundo de un filósofo, entre los más profundos.