jueves, 7 de febrero de 2013

* VOEUX PUBLICS, UNE EXCEPTION FRANCAISE.-

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OEUX PUBLICS, UNE EXCEPTION FRANCAISE


Depuis le premier Janvier 2013, le Président actuellement en vigueur, François Hollande, va presque tous les jours  visiter une catégorie de la population pour lui présenter ses vœux. Les jeunes, les syndicats, les gendarmes : tout le monde y a droit. Il a depuis belle lurette abandonné le train utilisé seulement pour quelques belles photos et emprunte souvent son magnifique objet volant, ceci à grand renfort de kérosène. C'est l'occasion de lancer des banalités ridicules du genre « La jeunesse est l'avenir ». S'y ajoutent à chaque fois des promesses intenables comme celle de terrasser le chômage avant la fin de l'année, alors qu'il sait bien qu'il ne pourra pas le faire ; les médias énamourés dégustent ces promesses.

DES VOEUX ET DES BUFFETS

Ces vœux du Président ne sont que la pointe de l'iceberg des innombrables vœux publics français, véritables scandales générant l'effet de ruine dans toutes les catégories de la population avec par ricochet le chômage et la pauvreté.
Si, depuis le premier janvier, vous avez essayé de contacter votre député ou votre maire, vous avez constaté qu'il était « in-tou-chable » parce que, justement, il était à la fête. Vœux et ensuite « galettes des rois » se succèdent sans interruption, les galettes des rois ne gênant guère ces fameux républicains dès lors qu'elles sont gouleyantes. Un ministre, naguère, s'est vanté d'avoir invité pour recevoir « ses » vœux 10 000 personnes au total, dans « son » ministère, « sa » ville et « sa » présidence de région. Il était présenté avec gourmandise par la  presse comme un « pro », tant son adresse était grande dans la préparation et la tenue de ces multiples fêtes.
Dans les fêtes et réceptions publiques, il peut, certes, arriver que les simples contribuables soient invités. Cela fait partie de ce que l'on dénomme « la stratégie des miettes » : les prédateurs publics spéculent sur leur modeste joie pour continuer à les spolier en paix. Il s'agit, d'ailleurs, de « miettes » en bonne et due forme et parfois, on les aperçoit voleter au coin des vestons. En dehors de ces quelques contribuables invités par erreur, les Hommes de l'État se retrouvent entre eux dans ces réceptions de début d'année : le Président du Conseil Général donne la main au Député, qui la transmet au Chef Syndicaliste. Le Président d'association subventionnée la saisit au passage et la repasse au directeur de société d'économie mixte ; tiens voici le Sous-Préfet qui tend la main au Président du Conseil Général, terminant ainsi la boucle. La balade des mains se produit entre gens qui vivent tous des impôts. On écoute les discours d'une oreille distraite en lorgnant sur le buffet.
Certains pourraient se demander si le total des frais occasionnés par ces vœux représente un chiffre assez significatif pour générer  la pauvreté dans le corps social. Or le calcul montre qu'en fait les frais occasionnés par les vœux publics en France, lesquels constituent une véritable exception française, représentent à peu près 0,2 % du PIB ce qui est tout à fait considérable et suffisant pour faire partir des industries et engendrer du chômage et de la pauvreté.

LE CALCUL

Voici les termes du calcul approximatif.
Il y a d'abord les buffets : pas de vœux réussis sans buffets bien garnis. Pour évaluer le coût des buffets il faut d'abord savoir combien il y a de « puissances invitantes » suivant la terminologie prétentieuse de ces gens. Bien entendu au départ il y a les 40 ministres chacun offrant ses vœux ici ou là ; mais il faut ajouter bien d'autres puissances invitantes comme les dirigeants de l'opposition qui vivent aussi des fonds publics, les dirigeants d'un grand nombre d'assemblées et puis les dirigeants de groupes parlementaires et des Hautes Autorités Administratives. L'évaluation approximative de toute cette population nous amène à 300. Il faut maintenant ajouter le millefeuille administratif qui pèse si lourdement sur toute la France. Un rapport Balladur avait évalué à 591 unités le millefeuille administratif ; nous pouvons arrondir à 600 et nous voilà à un total de 900. Que penser des 36 000 communes ? Les communes les plus importantes, les syndicats des communes, et l'intercommunalité nous conduisent probablement à 1000 puissances invitantes supplémentaires ce qui nous porte à 1900 ; arrondissons  à 2000.
D'autres éléments doivent être pris en compte. Président et Ministres font la fête tous les jours mais les puissances invitantes de moindre catégorie ne font pas la fête tous les jours : il faut faire une moyenne. Soyons modestes et limitons nous à quatre fêtes en moyenne ce qui nous porte le total à 8000 fêtes. Combien de fêtards dans chacune des fêtes ?  L'on se précipite en général pour être invité et il est vexant dans les provinces de ne pas serrer la louche du préfet à cette occasion. Là aussi nous sommes obligés de prendre des moyennes et nous supposons 200 fêtards par séance. Nous voici avec 1 600 000 fêtards.
Dans notre évaluation à la louche, si l'on peut dire, il reste à savoir à combien nous évaluons la place. Il faut tenir compte non seulement des frais des traiteurs mais des transports pour amener les fêtards avec souvent des fonds publics et prendre en considération l'amortissement ainsi que l'entretien des fabuleux palais dans lesquelles se passent ces multiples fêtes. Nous supposons en moyenne un coût de 200 € par place et nous voici à 320 millions d'euros simplement pour le prix des buffets bien garnis.

LE TEMPS

Nous allons surprendre nos lecteurs car nous n'en sommes qu'au début du scandale et encore au sommet de l'iceberg. Un économiste honnête, doublé d'un comptable scrupuleux, doit prendre en compte le temps des fêtards. En effet, faisant preuve pour une fois de gentillesse, nous pensons que ces fêtards sont des personnes de très grand talent même si ils appartiennent aux branches mortes de la nation et exercent parfois leurs talents d'une façon nuisible : voire les chefs syndicalistes ou les dirigeants de l'éducation nationale. Au lieu de passer la journée bouche bée devant une puissance invitante dont ils n'ont rien à faire ils pourraient, avec leurs talents propres,  créer de la richesse dans leur domaine de compétence. Nous ne prendrons pas pour l'évaluation de la valeur de ce temps le tarif d'un PDG du CAC 40, ce qui ne voudrait rien dire. Nous prenons seulement 2000 € par vacation de fêtard ; 2 000 euros multiplié par     1 600 000 nous donne 3,2 milliards d'euros
Avec le coût des buffets nous voici à 3,52 milliards d'euros.

D'AUTRES FRAIS

Nous n'avons pas encore fini car lorsque l'on détricote les causes du désastre français l'on n'est jamais au bout. Une troisième catégorie d'autres frais doit être prise en compte.
Que les lecteurs sceptiques prennent la peine de sortir de chez eux. A la campagne, début janvier ils reçoivent en pleine figure, par voie d’affiche sur les routes, les vœux du Conseil Général  dont ils n’ont rien à faire et à Paris, pendant huit jours, les vœux du Maire. Il faut voir les dames du quartier remercier avec effusion le Maire pour la boîte de chocolat qu'il leur a « offerte » avec l'argent qu'il a ramassé dans toutes les rues, non sans en garder précautionneusement une part pour lui.
Ajouter les cartes de vœux avec frais d'envoi à toute la population, les frais de dessinateurs et de logos, les affiches, les services de communication. Un ministre, naguère, voulant sans doute montrer son attachement aux valeurs de la République avait envoyé en France et à l'étranger des milliers de cartes de vœux avec des images obscènes mettant en jeu certaines de nos gloires nationales. Quand l'on voit, dans le journal local, la photo d'un Conseiller Général venu « offrir » les vœux du Conseil Général dans un asile de vieux, il faut bien comprendre de quoi il s'agit. Ce Conseiller Général reçoit pour cette tâche sympathique une prime, plus ses frais de déplacement, le tout probablement sans impôt. Ne pas oublier le temps des attachés de cabinet chargés de préparer les discours et d'y semer les phrases idiotes habituelles.

LE  TOTAL GENERAL

Personne n'a intérêt à nous informer sur cette dernière catégorie de frais qui se perd dans le marécage nauséabond de la comptabilité publique. L'on peut imaginer que cela nous conduit à un total général de 4 milliards d'euros soit  0,2 % du PIB. Les impôts et charges nécessaires pour financer cette insupportable spécificité française mènent à due concurrence aux délocalisations, au chômage, voire à la pauvreté. Les innombrables fêtards objecteront que nous parlons de gouttes d'eau : objection classique. Mais de multiples gouttes d'eau forment le torrent de la ruine que les prédateurs publics infligent aux autres.
Un diplomate allemand rencontré par hasard il y a quelques années lors d'un mois de janvier avait dit que les vœux publics dans son pays se réduisaient à presque rien mais avait du abréger l'entretien pour courir entendre des phrases banales lors d'une cérémonie !

Michel de Poncins
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CATHOLIQUES POUR LES LIBERTÉS ÉCONOMIQUES (C L E )
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                   NOUS AVONS L’HONNEUR DE VOUS INVITER À
                   LA CONFÉRENCE-DÉBAT QUI AURA LIEU
                          le vendredi 22 février 2013  à 18 H 30
                   salle de L'ASIEM 6 rue Albert de Lapparent Paris 75007.

sábado, 19 de enero de 2013

La falange macedonia.-

La falange macedonia

16/01/2013
Pablo Casado Muriel
@pablo_casado
La semana pasada detallábamos el estilo, la composición y el armamento de la caballería pesada de Alejandro Magno, los compañeros. Junto a este grupo selecto, el grueso de las tropas macedonias y el otro puntal sobre el que se sostuvo la conquista del Imperio Persa fue la infantería, “los compañeros de a pie”,  entre los que destacó el nuevo modelo de falange.
El soldado de una falange tradicional debía cargar con una pica de unos 2 ó 3 metros y una espada corta de unos 60cm de longitud. Su defensa se componía de un casco de estilo corintio, una coraza de lino con placas metálicas y las grebas para las piernas, además, el gran hoplon (escudo), que tenía un diámetro de entre 80 y 100cm, le protegía del enemigo. En el avance, los escudos se unían por lo que los hombres tendían a avanzar con cierta cadencia hacia la derecha para protegerse mejor con el escudo de su compañero.
Falange espartana tradicional
La falange utilizada por Alejandro es el fruto de los desarrollos técnicos del tebano Epaminondas y del padre del Magno, Filipo II. La tendencia ha girar a la derecha en batalla fue visto por Epaminondas como algo positivo, decidió atacar a sus enemigos de manera oblicua y con mayor profundidad en las filas para favorecerse de la presión ejercida de atrás hacia delante y obtener mayor fuerza y velocidad. De esta forma, el general tebano ganó a los espartanos en la Batalla de Leuctra en desventaja numérica.
Casco corintio y casco tracioLas tropas que componían la falange macedonia no tenían un armamento tan pesado como los antiguos hoplitas. Su escudo era bastante más pequeño y en forma de botón de unos 60 cm de diámetro denominado aspis, su coraza también era más fina y su casco era por lo general de estilo tracio. Las partes más retrasadas de la falange no llevaban apenas protección.  Sera en el armamento ofensivo donde se produjo la mayor revolución: Filipo armó a sus falanges con la sarissa, una pica de unos 5 ó 6 metros de largo, blandida con ambas manos.
La sarissa era mucho más larga que las lanzas tradicionales, llevaba una punta de 50 cm de largo y un contrapeso romboidal que podía clavarse en el suelo. La longitud de la sarissa hacía que sus puntas sobresalieran por delante de la falange desde la quinta fila, el resto de los soldados apoyaban estas sobre sus compañeros para favorecer el avance y frenar las flechas enemigas. Los soldados llevaban también espadas y pequeños puñales.
Como hemos comentado,la gran novedad que introdujeron Filipo y Empaminondas en la falange fue la de darla mayar profundidad con 16 hombres por cada una de las 16 columnas, dicha formación se denominabasintagma. Seis sintagmas conformaban un regimiento o taxis.
Falange macedonia de perfil
Lo más importante para el buen funcionamiento de la falange era la unidad del grupo, mucho más al ser tropas con menor protección, si la falange se partía las sarissas eran inútiles y la defensa del sintagma algo casi imposible. El avance de la falange en el combate servía de sujeción para el enemigo mientras la caballería rodeaba los flancos (táctica del yunque y el martillo). Se decía que era algo aterrador ver acercarse a las falanges macedonias en formación cerrada pues parecían puercoespines metálicos y mucho más terrorífico era si mientras se escuchaba el grito macedonio, el “ALALALAI”. La infantería alejandrina se completaba con los hipaspistas, un cuerpo de elite dentro de la falange que cubría los flancos y la conectaba con la caballería; y con diferentes grupos de arqueros y honderos, que por lo general venían de Creta y Rodas.
Será interesante comentar en próximas semanas la importancia de la ingeniería militar en el ejercito de Alejandro Magno, un cuerpo del ejército que dejará para la Historia momentos como el Sitio de Tiro. Pero antes, la próxima semana, analizaremos la figura de Alejandro Magno en el campo de batalla y contemplaremos uno de los mayores ejemplos de liderazgo que han dado los tiempos.......

viernes, 11 de enero de 2013

DOMINIQUE VENNER

LA EUROPA DE LAS NACIONES DE EUROPA, LA EUROPA DE LA CRISTIANDAD, LA EUROPA DE LAS CATEDRALES, LA EUROPA DE LA CULTURA, DE LAS LETRAS Y DEL ARTE, LA EUROPA ETERNA.

Dominique Venner – Pour une critique positive
Retrouvé dans un vieux carton d?un vieux militant, ce cahier méritait d?être lu par une nouvelle génération de militants. C?est pourquoi un militant dévoué l?a recopié et mis au format pdf. Bien que le document soit daté, il contient en son sein des critiques et des réflexions qui permettront à beaucoup de porter un nouveau regard sur leur combat. Les jeunes d?aujourd?hui remplaceront sans difficultés les termes de nationalistes par identitaires et nationaux par conservateurs et arrivistes. Le texte a été écrit par un jeune combattant pour l?Algérie française au début des années 60 ; le pays, l?époque, la situation ne sont pas les mêmes, mais ce cahier n?en reste pas moins l?un des meilleurs ouvrages qui soit sorti de notre camp et sa lecture reste indispensable !

 http://www.thirdreichruins.com/

martes, 1 de enero de 2013

MIS RECUERDOS DE VIENA, EN EL VERANO DE 1953.-


MIS RECUERDOS DE VIENA, EN EL VERANO DE 1953.-

DON JUAN DE AUSTRIA.-
Hoy 1º de Enero del 2013, viendo y oyendo en la televisión austriaca el concierto de Año Nuevo de la Filarmonica de Viena, he recordado la primera vez que estuve en esa bella ciudad de Viena, en el mes de junio  año 1953.
 Recuerdo que iba con un viejo amigo y camarada del SEU de Madrid, con Andres M. Argeles, juntos estuvimos dudando, durante mucho tiempo, si cruzábamos o no cruzábamos  el  largo puente sobre el Danubio, que pasaba a la otra orilla, donde de lejos se veía  una imagen enorme de Stalin y otra de Lenin, al otro lado, estaba la Viena  del Sector oriental y nosotros dos, no nos atrevíamos a pasar el puente, no sabíamos exactamente, que nos pasaría en el Sector Oriental de Viena, el tranvia atravesaba constantemente el puente delante de nuestras narices, solía ir a tope de viandantes y nosotros seguíamos  preguntándonos, si, si o si, no !!!....Era la primera vez en nuestra corta vida, que estábamos muy cerca, de ver y tener una vivencia en el Este de Europa.
Al final pasamos y no paso nada, visitamos Viena del Este, que estaba en ruinas, daba pena, ver aquella ciudad tan divina, con escombros y ruinas por todas sus calles y hermosos edificios semi-destruidos, recuerdo que de uno de esos edificios salia música de una obra conocida de ballet y que atravesamos las ruinas hasta llegar a una sala enorme destartalada, donde unas jóvenes vienesas, hacían ejercicios de ballet  con una vieja profesora y un desafinado y destartalado piano.
 Nadie, nos dijo nada de nada, nos miraban con curiosidad y nosotros dos estábamos  atónitos viendo danzar a esas jóvenes tristes, fruto de una guerra brutal, que había destruido la belleza de Europa....La ciudad estaba invadida de soldados soviéticos, con sus largos fusiles  y sus largos capotes, que tapaban casi por completo sus botas altas y arrugadas al estilo ruso.....

Durante las elecciones de 1953-1956-1959 se mantuvo la relación de fuerzas entre los partidos....elegidos por los ocupantes.
 El Canciller Figl fue sucedido en 1953 por el conservador Julius Raab, tras la muerte de Karl Renner (31 de diciembre de 1950) se escogió como presidente a Theodor Körner, quien había sido alcalde socialista de Viena. 
Durante la conferencia de ministros de Exteriores de las grandes potencias de enero de 1954 se decidió acabar con la ocupación de Austria.
 El Canciller Julius Raab visitó Moscú en abril de 1955 para discutir sobre el tratado de paz. El tratado se firmó el 15 de mayo de 1955 en Viena por las potencias ocupantes, siendo llamado "tratado de estado " (Staatsvertrag), se consideró a Austria como víctima del nazismo y se declaró nulo el Anschluss con Alemania...... De acuerdo con el mismo Austria sería un Estado soberano, independiente y democrático, se convertía en un país neutral y se le prohibían los tratados militares, también se le prohibía la unión con Alemania y la restauración de los Habsburgo.
 Se garantizaron los derechos de las minorías eslavas. El tratado entró en vigor el 27 de julio y el 25 de octubre las últimas tropas extranjeras abandonaron el país, dejando a cargo del mismo a la recién creada República, dotada de gobierno propio y una nueva Constitución. El 5 de noviembre de 1955 el Parlamento aprobó por ley la neutralidad del país.
Fue el primer país del bloque soviético que se independizo del mismo, con condiciones muy duras de neutralidad total. Pero se convirtió en la puerta de salida para miles de disidentes, que venían del otro lado del TELÓN DE ACERO......- Después de 1953, estuve varias veces en Viena, una de ellas en Abril de 1960, pase allí mi cumpleaños con mi  Renate, y otras veces solo.., la ultima vez que vi el Danubio, fue en el Kloster de Weltenburguer.-  La abadía de Weltenburg se ubica en la península de Danubio en Bavaria. Este monasterio se fundó en el año 620 por monjes escoceses o irlandeses (no se sabe bien el origen pero cualquiera de los dos es promesa de buena cerveza). En el año 1050 fundaron la cervecería, y se disputa el título de ser la más antigua del mundo en operaciones junto con la Weihenstephan.-

                                            
                                           MI VIENA  QUERIDA; GRINZIG,, PLATER.......



  • PRATER. PERO SOBRETODO EL VINO BLANCO DE.. Grinzing se encuentra en el noroeste de Viena y, con una superficie de 613,52 hectáreas, es el suburbio más grande del distrito de Döbling. Al noreste limita con Josefsdorf ; la frontera continúa a lo largo de Wildgrube y el arroyo Schreiberbach hacia el este, donde se ramifica a lo largo de Springsiedelgasse y Neugebauerweg hacia el sur. Luego, la frontera recorre Hungerbergstraße para marcar el límite con Unterdöbling , antes de seguir el curso del Kaasgraben, que divide Grinzing de Sievering en el este. Finalmente, la frontera gira hacia el noroeste y continúa por Himmelstraße y Spießweg hasta el límite de la ciudad de Viena, que separa Grinzing de Weidling .
    •                               ME ENBORRACHE Y BAILE EL TOREADOR ENCIMA 

                 DE UNA DE LAS
    •  LARGAS MESAS A LA ORILLA DEEL DANUBIO!!!

  •                                                                           ME ENCANTA !!!!!


martes, 18 de diciembre de 2012

Mi lista de blogs:CASTILLA POR ESPAÑA !!!

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Tocqueville Magazine
LE FLASH


LUNDI  17 DECEMBRE 2012

FLORANGE : L'INDUSTRIE ASSASSINEE


Depuis des semaines nous voici inondés d'informations sur Florange. Pour sauver l'emploi de  620 personnes, on en détruit des milliers ailleurs. Jean-Marc Ayrault, premier ministre, vient de faire part d'une absurdité à la sortie d'un comité interministériel : la totalité du gouvernement est mobilisée sur le sujet ; Avec les 40 ministres qui passent une grande partie de leur temps à se chamailler et les mille membres des cabinets, la mobilisation s’apparente à une sonnerie de tocsin : pendant cette absence gouvernementale, des milliers d'emplois ont disparu sans que personne ne s'en soucie vraiment. 
Il a été question à voix haute de nationalisation. Cette seule rumeur non démentie est un télégramme adressé aux investisseurs du monde entier : n'investissez pas en France, car le pays est pourri et votre propriété peut être saisie à tout moment. Combien de chômeurs en plus  à cause de cette rumeur ? Mystère. 
Un fait demeure. Si par un arrangement coûteux avec Arcelor Mittal, les hauts fourneaux restent  en marche, les 620 emplois sauvés seront  des emplois fictifs. Les experts sont unanimes à dire que la fabrication d'acier doit être aujourd'hui située au bord de la mer. Les composants du monde entier peuvent y être facilement reçus et la production peut être acheminée partout. 
Ce qui est en question, ce n'est nullement telle ou telle politique industrielle mais l'existence même d'une politique industrielle. 

LES DEFAUTS DES POLITIQUES INDUSTRIELLES 

Une telle politique, quelle qu'elle soit, implique au départ des coûts insupportables. Le nombre des ministres qui s'en occupent est grand. Arnaud Montebourg  flanqué de son titre ridicule est loin d'être le seul ; il a ses représentants dans les régions et les départements ; il en est de même pour chacun des autres. Les collectivités territoriales ont leurs services spécialisés  ainsi que les grandes mairies. Tout ce beau monde s'agite sous l'œil narquois de Bercy, seul décideur en dernier ressort. 
Les coûts sans limite connue déclenchent les impôts qui écrasent l'industrie sans aucune pitié. S’y ajoutent des dommages gravissimes. Les pertes de temps sont colossales : attendre six mois une maigre subvention pour un projet peut tuer le projet. Les conditions imposées pour avoir les aides transforment le projet selon des vues, négligeant le marché. Ayons garde d'oublier la corruption inévitable, gangrène dont la France souffre particulièrement  selon Transparency International. 

LE MAQUIS DES  AIDES AUX ENTREPRISES

Un aperçu des aides aux entreprises illustre tout ce désordre.
Suite à un audit  en 2011  le coût total s'élève  à 65 milliards, soit  4 % du PIB et un peu plus que le budget de l'éducation nationale. C'est, grosso modo, l'équivalent de l'impôt sur les sociétés. Pas moins de 6 000 dispositifs existent. Parmi les 6000, se trouvent  22 aides européennes, 730 aides nationales et 650 aides pour l'ensemble des collectivités locales de la seule région Ile de France. Il y a 220 dispositifs différents d'aide à la création d'entreprise, or seulement 10 % des entreprises qui se créent en bénéficient en pratique. Ces chiffres sont évidement très incertains et mouvants, car dans une forêt vierge personne n'y voit  goutte. Le désordre de l'État est tel, que pour arriver à ce recensement il a fallu mobiliser trois corps d’inspection : finances, administrations et affaires sociales. 
Ces chiffres doivent être fortement majorés car ils se limitent aux montants des aides elles-mêmes. Le coût total pour l'économie nationale doit tenir compte des dépenses déclenchées dans la fonction publique comme  nous venons de le montrer. Pour ce qui concerne les dépenses privées il y a lieu d'enregistrer les heures interminables consacrées par les entreprises à l'analyse de ce maquis avec quelquefois des services complets et des directions importantes au sein des grandes entreprises. Ne pas oublier non plus les organisations patronales dont une grande partie des services contribuent au dit maquis. Cette circonstance explique, au demeurant,  une complicité de fait entre les pouvoirs publics et les organisations patronales en vue du maintien et de l'amplification du système. Les organisations patronales sont souvent, hélas, du mauvais côté, partageant avec les politiques de solides intérêts personnels et la même idéologie dirigiste.  Les 65 milliards ci-dessus doivent, donc, pour une analyse honnête, être affectés d'un coefficient de majoration inconnu mais certainement élevé.
Le désert industriel qu'est devenu la France et dont tout le monde se plaint est particulièrement grave à cause de la nature spéciale  des activités industrielles. Celles-ci offrent l'avantage d'une très grande diversité des métiers, à la différence des autres activités comme les activités de services. Elles ouvrent en conséquence beaucoup de perspectives à une foule de créateurs ou de salariés et aussi  à des sous-traitants, eux-mêmes porteurs de divers métiers. Il n'est pas possible que quelqu'un de raisonnable se satisfasse de la perspective de voir la Chine ou d'autres pays  devenir fabricants de la plupart des objets de notre vie quotidienne. 
Il est certain que pour ne pas assassiner l'industrie et la faire revenir il faut que l'Etat ne s'en occupe plus. D'autres conditions comme le détricotage du pesant code du travail en accroissement constant sont nécessaires. La route de la liberté et de la richesse qui s'ensuit est bien balisée ; si personne ne l'emprunte, de nouveaux désastres nous attendent. 

 
MICHEL de PONCINS
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LES HARICOTS DU SAINT SACREMENT

Ces haricots, ainsi dénommés depuis plus de deux cents ans, ont tous sur le côté une image d’ostensoir et se reproduisent avec la même image. L’origine remonte,  à la révolution française. Le curé d’un petit village d'Alsace était inquiet, car les  brigands de la république profanaient les églises et arrivaient sur sa paroisse !  Il confia l’Eucharistie à une paroissienne qui cacha les hosties dans ses haricots à rames. Les brigands partirent sans pouvoir se livrer au sacrilège. Quand cette  paysanne ramassa ses semences de haricots, elle s’aperçut qu’ils étaient tous marqués de l’ostensoir ! Depuis lors, le même phénomène se répète.
La Saint Didier approche et c'est la date pour les planter.
Si, croyant ou non, vous êtes intéressés, voici un blog  : http://haricotsmystere.skyrock.com
Pour avoir des spécimens à planter :
Richard Croche : crrichar@numericable.fr